Palais d'Enetari et d'aide en amour

Hanzo arriva dans le château. Il se tenait à quelque mètres de Tundrikeir et regardait un peu partout l'intérieur du château. Hanzo comprit rapidement se que s'on ami voulu dire en parlant des bons et des mauvais souvenirs de la guerre. Il se demanda pourquoi il avait été capitaine. C'était un rôle qui comprenait de nombreux mauvais moment parce qu'il commandait les hommes qui devaient parfois éléminé des civiles et des innoçants. Maintenant, sa lui aurait été égale de faire se genre de chose. Il arriva avec Tundrikeir dans une grande salle à manger ou se tenait deux personne qui discutait. Il eut un regard méfiant sur eux pendant un instant. Le fait qu'il n'était peut-être pas la bienvenue lui sauta au visage et le fit rire un instant. Son rire était plutôt froid et glaciale.

Lorsque Hanzo se mit à rire, Gerudo releva la tête, et reconnut Tundrikeir, mais pas l'autre homme avec lui. Lorsqu'il sonda celui-ci, il découvrit un être du mal, à sa grande surprise. Se levant d'un coup, il contourna la table, et posa la main sur la garde de son épée.

-Qui êtes vous?, demanda-t-il à l'inconnu.

Hanzo regarda l'homme se levé et mettre la main sur son épée. Il savait que s'il venait ici, il ne serait pas la bienvenue. Comme si de rien était pendant un moment, il alla s'assoir sur un siège en regardant la femme. Son regard revint sur l'homme par la suite. Il eut de nouveau un rire froid. Il se demandait pourquoi lorsqu'un être du bien m'était un pied dans le continent du mal, il était beaucoup moins menacé qu'un être du mal qui allait sur un continent du bien.

- Je me nomme Hanzo.

Voyant que l'inconnu ne semblait pas dangereux pour l'instant, Gerudo enleva lentement la main de la garde de son épée, et retourna s'asseoir. Regardant l'homme un instant, il attendit avant de prendre la parole.

-Et puis-je savoir ce que vous faîtes ici?

Hanzo regarda Gerudo pendant un instant. Il n'avait pu l'air aussi menaçant que tentôt. Il n'avait rien à faire de toute ses questions. Pour l'instant, il se la coulait douce sur la chaise ou il était assit. Hanzo n'avait jamais été un seigneur important ou quoi que soit même s'il est un peu considéré comme. Il se demandait encore comment la femme réagirait. Celle-ci était resté la à ne rien faire depuis qu'il était arrivé. Il regarda Tundrikeir pendant un instant.

-Mon ami m'a dit de venir voir le château en souvenir du bon vieux temps.

-Vous vous connaissez?

Intrigué par la prétendue amitié antre Hanzo et Tundrikeir, Gerudo les regarda à tour de rôle. Il semblait un peu étrange que ces deux là soient amis.

-Et dans quel contexte, exactement?

Hanzo voyait bien que la femme les regardaient, Tundrikeir autant que lui avec un regard menaçant. Hanzo n'eut qu'une envit en voyant sa, c'est de rire. Il ne voyait pas comment Tundrikeir pouvait avoir un liens d'amitier avec des gens qui à première vue n'avait pas l'air de l'aimé. Il resta assit et ne parla pas pendant un long moment. Il continua tout de même à rester sur ses gardes au cas ou l'un d'eux tenterait quelque choses.

-Arrêtez de nous dévisager comme sa. On a combattu dans la même armé autrefois.

-Je ne vous accuse de rien...

Voyant le regard de Loanna envers Tundrikeir et Hanzo, il lui dit téléphatiquement:

-S'il-vous-paît, arrêtez ça...

Puis il se retourna vers les deux hommes, et rajouta:

-Je n'ai pas de mal à croire ce que vous dîtes, vous devez seulement comprendre qu'en tant qu'être du mal, vous êtes nécessairement sujet à la méfiance ici.

Hanzo se leva et s'approcha d'une fenêtre. Il trouvait bizarre d'être sur des nuages, il se disait que sa fesait royaume des morts même si se l'était pas du tout. La vue restait tout de même plutôt belle même s'il n'y avait pas grand chose à voir. Il se demandait si s'était une bonne idée de resté de dos quand il savait qu'il y avait des êtres du bien derrière lui. Il s'avait que Tundrikeir l'aiderait peut-être quoi qu'il ne savait peut-être pas que Hanzo était du royaume du mal.

-Pourquoi vous vous méfiez toujours particulièrement quand on vient chez vous mais quand vous venez chez nous, on vous laisse allez généralement.

-Oui, généralement...

Gerudo s'accouda sur la table, et regarda Hanzo un instant.

-Mais nous avons simplement l'envie de protéger notre continent. Vous devez sûrement comprednre ce besoin, si vous avez été dans l'armée?

Hanzo continua à regarder par la fenêtre en se rappellant des souvenirs assez horribles de quand il était dans l'armé. Il était en générale chargé de mission d'extermination de population par si et par la. Comme, il est rendu aujourd'hui, il n'aurait eu aucune difficulté à exécuter se type d'ordre mais autrefois c'était beaucoup plus difficile d'ordonné à ses hommes d'exterminer des civiles innoçants qui vivaient des vies paisibles et tout sa pour son roi.

-J'ai eu beaucoup plus souvent à faire autre chose que de la defence. J'était beaucoup plus dans l'offensive et l'extermination. Je suis un bon stratège sans me venter.

-Pourtant, il n'y a aucune gloire à détruire des peuples à cause des caprices d'un seigneur, aussi puissant soit-il, répondit le semi-elfe, qui avait lu les pensées de Hanzo.

Jamais il n'aurais cru ressentir une telle chose, mais en ce moment, il eut un peu pitié de l'homme qui était en face de lui, même si techniquement, ils étaient des ennemis.

Hanzo secoua la tête en regardant l'homme un instant. Il n'a pas connu le seigneur en question. Les choses étaient beaucoup plus différente dans le temps. Le roi qui le gouvernait n'était pas n'importe qui et il avait de l'influence sur beaucoup trop de choses alors la seul chose qui avait à faire avec lui était de le servir sinon on finissait en première ligne dans une bataille complètement folle. Il se tourna vers Gerudo et le regarda un moment. Il se demandait si celui-ci n'utilisait pas de pouvoir sur Hanzo.

-Croyez-moi, la situation était beaucoup plus différente que aujourd'hui. Vous n'auriez pas eu vraiment le choix. C'était plutôt le bras droit du roi qui était le maître de la tirani. Le roi était occupé dans des conflits réel pendant que le conseiller envahissait tout. Le but du roi était de tous réunir en un seul empire mais tout sa n'a jamais rien donné.

-Que voulez-vous, rares sont les seigneurs et les rois qui atteignent leurs objectifs... Il y a toujours quelqu'un pour tout faire rater.

Ragardant de nouveau Hanzo, Gerudo se dit qu'une existence forcée devait être bien malheureuse.

Hanzo commença à marcher lentement vers un siège. Il s'assit en regardant la table sans dire un mot. Il regarda tout le monde dans la salle un après l'autre comme s'il examinait. Son regard s'arrêta sur la femme qui le défégurait complètement.

:: Je serais encore quelqu'un de bien si je n'aurais pas découvert l'éxistence du complot du conseillé, pensa-t-il.::

Le souvenir de ses parents lui revenait lentement. Une larme glissa le long de sa joue lorsqu'il pensa à sa soeur qu'il n'avait jamais vu et qui avait probablement été tuer.

-Ce n'est pas à cause du conseiller que toute à échouer mais à cause de d'autre évènement.

Lisant une nouvelle fois les pensées de l'homme en face de lui, Gerudo ne put que prendre pitié de cet homme.

-Ne vous en faîtes pas, tout le monde a ses erreurs... Certains plus grosses que d'autres... Et... nous avons tous perdu un être cher un moment ou l'autre.

Lorsqu'il entendit le commentaire que Gerudo fit, il fronça les sourcits. Il savait maintenant que l'homme lisait belle et bien dans ses pensées se qui le mit en colère. Il se leva d'un mouvement rapide et avec une respiration qui laissait parètre qu'il était en colère. Il donna un coup sur la chaise. Celle-ci se brisa en deux sur le coup. Il se dirigea vers la fenêtre et ne dit parla pendant un certain moment en ne pensant à rien pour l'instant.

-Comment est-ce que vous savez sa vous?

Souriant tristement un instant, le semi-elfe répondit:

-Tout simplement parce que justement, nous perdons toujours des êtres qui nous sont chers un jour ou l'autre. Même si je ne savais pas lire els pensées, il n'y a pas besoin de grand-chose pour le savoir.

Même s'il fesait semblant qu'il ne lissait pas dans les pensés, Hanzo restait persuadé que celui-ci pouvait. Il se rendait compte que les deux autres personne les écoutaient depuis tentôt et qu'il n'avait rien rajouté. Il regarda Tundrikeir un moment qui était à côté du mur et la femme qui était assit sur la chaise. Finalement, il se retourna et continua à regarder dehors les nuages et la ville qui flottait sur ceux-ci. Il ferma les yeux un moment.

-À qui appartient se château au juste?

-À ma fiancée, la princesse Ailbie d'Enetari. Mais si vous voulez lui parler, elle est quelque peu occupée pour l'instant.

Il se leva et s'assit sur le rebord de la table. Il attendit la réaction de Hanzo.

Hanzo se demandait bien se qu'il aurait bien à lui dire de toute façon. Cette pensé le fit rire sur le coup. Son rire était toujours aussi froid. Le souvenir de son meilleur ami lui revint tout d'un coup, il ne sait pas pourquoi. Hanzo s'estimait heureux de ne pas être mort lui pour sa part parce que son ami avait été piègé lui et ses hommes. Ceux-ci avaient tous été tuer et le conseiller avait camoufler la scène pour que les hommes du roi ne se doute de rien.

-Pourquoi je voudrais lui parlez au juste?

Hanzo fut un peu soulagé de la voir partir parce qu'elle ne fesait que le dévisagé lui et Tundrikeir depuis un moment. Il n'était pas vraiment du type à se déranger pour un détail comme celui-ci. Il se demandait bien se que l'amour lui apporterait et la différence est que personne ne voudrait aimer la personne qu'il est devenu. Même la personne qu'il était autrefois n'aurais pas eu plus de chance. Il ne sait pas pourquoi lui en particulier même si les capitaines étaient tous les même avait juste une réputation militaire.

-Elle oublie un détail. Personne ne voudrait de quelqu'un comme moi.